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La science prouve que les méridiens existent

En Kinésiologie, nous utilisons énormément les points d'acupuncture et les méridiens. Les points d'acupunctures sont des points situés sur le trajet des méridiens. Depuis 2013 plusieurs études scientifique ont prouvé que les endroits ou sont situés les points d'acupuncture ont un impact sur le corps et sur le cerveau, ce qui n'est pas le cas des autres endroits du corps, ou il n'y a pas de points d'acupuncture. Prouvant ainsi que les points d'acupuncture existent et agissent sur le corps. Voici plusieurs études et leurs sources expliquant ces recherches, la majorité d'entre elles sont en anglais.


Le concept de méridien vient des techniques de la médecine chinoise traditionnelle comme l’acupuncture et l’acupression. La théorie des ambas dit que l’énergie vitale du corps (氣 qi en chinois mandarin) circule à travers le corps par des canaux spécifiques, appelés méridiens. Les différents méridiens sont interconnectés.

Les Méridiens existent-ils vraiment ?


La Théorie des Méridiens a été élaborée selon des connaissances empiriques. Il s’agit d’un système complexe et intégratif qui ne possède aucun équivalent en médecine occidentale, même si certains de ses aspects semblent à l’occasion correspondre avec les systèmes circulatoire, lymphatique, nerveux ou musculaire qui nous sont familiers.

Les acupuncteurs peuvent affirmer, à partir de leur pratique quotidienne, que la Théorie des Méridiens procure une efficacité clinique remarquable. De plus, les patients témoignent régulièrement de l’existence de quelque chose qui correspond précisément aux Méridiens, soit par les descriptions qu’ils font des trajets de douleurs, ou encore lorsqu’ils décrivent les sensations provoquées par la pose des aiguilles sur les points d’acupuncture.

L’ensemble du « Systèmes-Méridiens » alimentent et relient les différentes parties de notre anatomie, et font des connexions entre les organes et les points d’acupuncture à la surface de la peau.

Pendant des décennies, dans diverses civilisations, les gardiens de la sagesse et les guérisseurs comprenaient bien le corps énergétique. Les techniques de la médecine pour soigner des pays tel que la Chine, d’Inde, du Japon et du Tibet, ainsi que celles d’autres pays, ont toutes évoqué ou utilisé les canaux d’énergie, méridiens ou nadis le long desquels l’énergie vitale de notre corps est en permanente circulation.

On considère que la vie est faite de bio-électricité et d’énergie vibratoire et logiquement notre santé serait donc à la base fais d’un équilibrage énergétique par divers moyens. La vie sur terre existe par la force de vie et l’énergie qui parcourt et anime le corps, nous permettant de communiquer, bouger, respirer, manger, penser et même ressentir.

Parlons maintenant des canaux d’énergie

Cette force qui est vitale ou chi, est faites de 2 types de forces, yin et yang, et circule le long d’un réseau sophistiqué de voies énergétiques ou autoroutes, parcourant notre corps.

Il y a plus de 4000 ans certaines cultures connaissaient déjà l’existence de ces canaux d’énergie. On les nomme «sen» chez les Thaïlandais, «nadis» pour les Indiens, «méridiens», «canaux» ou «vaisseaux» pour les chinois et les japonais, et «canaux» pour les Tibéteins. Pour les indiens, où de nombreux arts de guérir orientaux ont été mis au point, il est dit qu’il existerait 72 000 nadis ou voies d’énergie.

La maladie est considérée comme un blocage, dans ces canaux, du flux d’énergie. Comme beaucoup de traditions médicinales, comprenant l’acupuncture, l’acupression, le massage et le yoga, sont fondées sur le principe de l’existence de ces canaux ou voies énergétiques, appelés aussi méridiens ou nadis, qui circulent par un vaste réseau dans l’ensemble du corps.

Cette idée peut sembler farfelu pour certains de considérer que notre corps soit fait d’énergie alors que nous sommes constitué de chair et d’os, nous sommes un champ d’énergie, intégré dans un autre champ d’énergie.

Nos corps sont électromagnétiques et des scientifiques ont mesuré ces fréquences avec des machines, comme ECG et l’IRM. Beaucoup d’études montrent que ces voies énergétiques et ces points conduisent l’électricité même lorsque des aiguilles ne sont pas utilisées. Et le massage Shiatsu a été créé pour donner les mêmes effets énergétiques.

De même, le Qigong, le Tai Chi et les postures de yoga, ont été créés pour pouvoir augmenter la conductivité électrique aux points d'acupuncture, mais la science n’a jamais cru à l’existence des méridiens jusqu’à présent.

Le système des méridiens


Ces Systèmes-Méridiens regroupent l’ensemble des Méridiens réguliers, appelés JingMai. Chacun des Systèmes-Méridiens est associé non seulement à une énergie Yin ou Yang spécifique, mais également à des Viscères spécifiques.

Il y a 12 paires de méridiens primaires et 2 méridiens simples intermédiaires, 7 Yang et 7 Yin. Les méridiens Yang descendent le long du corps et les méridiens Yin remontent le long du corps.

Chaque méridien est aussi lié à un élément.

Chaque méridien est plus actif à un certain moment de la journée ou de la nuit.


Les résultats et la recherche scientifique


Des chercheurs de l’Université nationale de Séoul ont confirmé l’existence des méridiens, qu’ils désignent comme un « système primo-vasculaire. » Ils disent que ce système est un élément crucial du système cardio-vasculaire.

Auparavant, le scientifique nord-coréen Kim Bong-Han a suggéré l’existence des méridiens au début des années 1960. Il y a plus de 50 ans, S. Kim Bong-Han a montré que de nouvelles structures tubulaires existaient à l’intérieur et à l’extérieur des vaisseaux sanguins et des vaisseaux lymphatiques, ainsi que sur la surface des organes internes et sous le derme. Il croyait que c’étaient des lignes de méridien traditionnelles. Les méridiens sont ensuite appelés « canaux de Bonghan » ou canaux, après sa découverte, et maintenant l’existence de ce système dans divers organes a été corroborée par d’autres recherches.

En Corée, les scientifiques pensent que le système primo-vasculaire est en fait la composante physique du système de méridien utilisé en acupuncture. Et ils suggèrent également que ce système soit impliqué dans l’acheminement du flux énergétique et de l’information, relayée par des bio-photons (qui sont les ondes électromagnétiques de la lumière) et par l’ADN.

Les scientifiques coréens étudient la médecine orientale avec des méthodes biophysiques et injectent une solution contenant un colorant spécial qui colore les méridiens. En injectant ce colorant dans les points d’acupuncture, ils ont pu voir des lignes fines. Celles-ci ne se voient pas sur les sites où ne se trouvent pas de points d'acupuncture et donc pas de méridiens.

Les chercheurs ont découvert que les méridiens ne se limitent pas à la peau, mais sont en fait un système de canaux au travers desquels un liquide circule, et que ce liquide peut former des agrégats de cellules souches.

Auparavant, les scientifiques utilisaient une combinaison de techniques d’imagerie et de tomodensitométrie pour observer des points concentrés de structures micro vasculaires qui correspondaient clairement à la carte des points d’acupuncture créés par les praticiens chinois dans les temps anciens.

Dans une étude publiée dans le « Journal of Electron Spectroscopy et related phenomena », les scientifiques ont utilisé un scanner sur des points de non-acupuncture et des points d’acupuncture. Les tomodensitométries ont révélé une distinction claire entre les structures anatomiques des points de non-acupuncture et des points d’acupuncture.



 

La preuve par IRMf de la spécificité des points d'acupuncture dans deux points d'acupuncture adjacents

Traduction de l'étude en français par Google Traduction. Conclusion de l'étude plus bas.


1. Introduction

L'acupuncture, originaire de la Chine ancienne, est utilisée en Asie depuis des millénaires comme méthode de traitement. De nos jours, l'effet thérapeutique de l'acupuncture est progressivement reconnu dans le monde occidental. Les Instituts nationaux de la santé des États-Unis ont recommandé l'acupuncture comme traitement alternatif et complémentaire pour de nombreux problèmes de santé. Selon la théorie de l'acupuncture traditionnelle chinoise ainsi que les pratiques cliniques, la performance dans des points d'acupuncture spécifiques peut traiter des troubles spécifiques. Cependant, le mécanisme physiologique exact du traitement par acupuncture n’est toujours pas clair.

Au cours des dernières décennies, de nombreuses études sur l'acupuncture sur des animaux expérimentaux ont montré que l'acupuncture induit un effet thérapeutique en modulant le système neuroendocrinien. Depuis les années 1990, grâce au développement de techniques d'imagerie cérébrale non invasive telles que l'IRM fonctionnelle (IRM) et la tomographie par émission de positrons (TEP), les méthodes d'acupuncture chez l'homme ont commencé à utiliser les méthodes d'imagerie fonctionnelle. Siedentopf et al. ont rapporté que l'acupuncture aux points d'acupuncture liés à la vision dans le pied activait le cortex d'association visuelle avec l'imagerie IRMf. L'acupuncture à des points d'acupuncture à fort effet analgésique, tels que LI4 (Hegu), ST36 (Zusanli) et GB36 (Waiqiu), peut moduler l'hypothalamus et le système limbique neuromatrique associé à la douleur. Ces résultats impliquent que l'effet de modulation de l'acupuncture pourrait être lié au système nerveux central. De plus, l'acupuncture à des points d'acupuncture spécifiques pourrait induire des modes d'activation cérébrale spécifiques. Notre travail antérieur montre également qu'il existe des schémas cérébraux spécifiques répondant à différents points d'acupuncture.

Dans les premières études sur la spécificité des points d'acupuncture, les points d'acupuncture sélectionnés étaient généralement éloignés les uns des autres sur le corps humain. Dans la présente étude, nous avons choisi deux points d'acupuncture situés de manière adjacente afin de minimiser l'effet de la stimulation neurale générale. Si des réponses cérébrales similaires sont dérivées de deux points d'acupuncture réels, la spécificité des points d'acupuncture doit être discutée plus en détail. Sinon, si des zones activées significativement différentes sont trouvées, la théorie de la spécificité des points d'acupuncture sera supportée.


2. Conception et réglage 2.1. Sujets

Cette étude comprenait 33 volontaires droitiers en bonne santé (17 hommes et 16 femmes), âgés de 20 à 30 ans, sans antécédents de troubles psychiatriques, neurologiques et de toxicomanie. Tous les sujets n'avaient aucune expérience en thérapie d'acupuncture. Chaque sujet avait donné son consentement éclairé avec une compréhension adéquate de la procédure et du but de cette étude. Tous les sujets étaient libres de se retirer de l'expérience à tout moment. Le protocole a été approuvé par le comité d'éthique local.

2.2. Stimuli

Puisque la stimulation manuelle du point d'acupuncture est l'acupuncture classique, nous avons adopté ce mode d'acupuncture dans cette expérience. L'aiguille d'argent a un diamètre de 0,30 mm et une longueur de 25 mm. Toutes les manipulations d'acupuncture ont été effectuées par le même acupuncteur qualifié. Deux vrais acupoints et un non-point proche ont été sélectionnés dans cette expérience. Le point d'acupuncture LR3 (Taichong) est situé dans le dos du pied, dans la dépression antérieure à la jonction des premier et deuxième métatarsiens. Le point d'acupuncture ST44 (Neiting) est situé sur le dos du pied, à proximité de la marge de la bande entre les deuxième et troisième doigts. Leur non-point voisin est situé sur le dos, entre le premier et le deuxième métatarsiens, environ 10 mm antérolatéraux à LR3 et postéromédiaux à ST44. L'acupuncteur qualifié a identifié qu'il ne se trouvait dans aucun méridien.

Tous les volontaires ont été divisés en trois groupes dans un ordre aléatoire, et chaque groupe n'a reçu que de l'acupuncture à l'un des trois points. Ils ont été informés qu'ils recevraient de l'acupuncture sur le pied sans se faire dire la nature du point de stimulation. Tous les points d'acupuncture de cette expérience étaient du pied droit et anatomiquement innervés par le nerf spinal L5.

2.3. Procédure de numérisation

[...] Étant donné que l’effet thérapeutique de l’acupuncture durera plusieurs minutes à plusieurs heures, ce que l’on appelle l’effet post-effet, nous avons adopté un schéma à un bloc pour éviter l’influence de durée indéterminée. Au cours de la numérisation, les sujets étaient allongés sur le lit du scanner, détendus et calmes. Leurs yeux étaient couverts de œillères (Aearo Co., USA) et leurs oreilles étaient bouchées avec des bouchons d'oreilles (Aearo Co., USA). Les lumières de la salle de numérisation étaient grisées et il n'y avait aucun son, sauf le bruit du scanner. Lorsque 62 analyses de base ont été effectuées, une aiguille stérile en argent a été insérée et tournée pour 60 analyses. Ensuite, l'aiguille a été retirée. Alors que l'analyse se poursuivait, jusqu'à ce que 402 analyses au total aient été effectuées. L'aiguille a été tourbillonnée manuellement dans le sens des aiguilles d'une montre et dans le sens inverse des aiguilles d'une montre à une fréquence d'environ 1 Hz avec une manipulation «même en renforçant et en réduisant». La profondeur d'insertion de l'aiguille était d'environ 15 mm pour le point d'acupuncture réel ainsi que pour le point sans contact.


2.4. L'analyse des données

Les données d'IRMf ont été analysées avec un logiciel de cartographie statistique paramétrique (SPM2, Welcome Department of Imaging Neuroscience, Londres, Royaume-Uni, http://www.fil.ion.ucl.ac.uk/spm/). Les deux premières images de chaque balayage ont été rejetées pour éviter les effets de non-équilibre de la magnétisation, de sorte que chaque sujet avait 400 volumes. Toutes les images de volume ont été automatiquement réalignées sur la première image de la série chronologique pour corriger le mouvement de la tête entre les balayages. Après réalignement, les images ont été normalisées et transformées dans l'espace de l'Institut neurologique de Montréal (INM). Le lissage spatial a ensuite été effectué avec un noyau gaussien de 9 mm × 9 mm × 9 mm. Les données lissées ont été traitées avec deux niveaux. Au premier niveau, les données de chaque sujet ont été analysées, respectivement, en utilisant une analyse à effet fixe basée sur le modèle linéaire général avec une forme d’onde de référence. Les zones cérébrales activées au cours de l'acupuncture au point d'acupuncture réel et au point de contact non relatif par rapport à la ligne de base ont été obtenues. Au deuxième niveau, afin d’acquérir les zones actives spécifiques induites par la stimulation au point d’acupuncture réel par rapport au non-point, une analyse de groupe a été réalisée à l’aide d’analyses d’effets aléatoires seuil de hauteur, P = 0.01 corrigé, seuil d'étendue spatiale, 10 voxels). Les coordonnées dans l'espace Talairach ont été obtenues en appliquant la correction Mattew Brett (mni2tal: http://imaging.mrc-cbu.cam.ac.uk/imaging/MniTalairach) aux coordonnées SPM-MNI.

3. Résultats

Deqi est une sensation unique d'engourdissement, de picotement, de plénitude et de douleur sourde qui se développe sur le site de l'acupuncture et qui peut s'étendre à une certaine distance du point d'acupuncture lors de la manipulation de l'aiguille. Après le scan, les sujets ont été interrogés sur le type et l'intensité de leurs sensations psychophysiques à l'acupuncture. Sur la base de leurs réponses, tous les sujets ayant reçu une stimulation à un point d'acupuncture réel ont ressenti une sensation distincte de Deqi. Chez tous les sujets ayant reçu une stimulation à un non-point, seul un sujet a signalé une sensation de Deqi.

Les zones communes activées par acupuncture manuelle sur deux points d'acupuncture réels par rapport au non-point proche ont été illustrées à la figure 2 et les zones spécifiques activées par stimulation de LR3 ou ST44 à la figure 3. Acupuncture à LR3 gyrus occipital moyen (BA19), aire somatosensorielle primaire bilatérale (SI), gyrus frontal médial ipsilatéral (BA10), lobe pariétal supérieur (BA7), gyrus temporal moyen (BA21), cortex cingulaire antérieur rostral (rACC, BA24), noyau lentiforme insula, cervelet et thalamus controlatéral. Alternativement, l'acupuncture à ST44 a activé sélectivement l'aire somatosensorielle primaire controlatérale (SI), l'aire somatosensorielle secondaire ipsilatérale (SII), le gyrus lingual, le noyau lentiforme, le gyrus frontal controlatéral moyen (BA10), le gyrus frontal inférieur (BA47), le cortex cingulaire postérieur bilatéral , BA29) et du cervelet.



4. Discussion

Dans la présente étude, nous avons appliqué l'acupuncture manuelle à deux points d'acupuncture réels adjacents et à leur non-point voisin, tous innervés par le même segment vertébral, afin d'explorer davantage la spécificité du point d'acupuncture. Le résultat a montré que l'acupuncture à LR3 et ST44 a provoqué des schémas de réponse distincts, bien qu'ils partageaient certaines zones d'activation en commun.

Les zones activées évidentes se chevauchant de LR3 et ST44 étaient l'aire somatosensorielle primaire (SI) controlatérale et le cervelet ipsilatéral. Les activations de ces zones ont également été rapportées par certaines études antérieures sur l'acupuncture à d'autres points d'acupuncture. Nakagoshi et al. ont acupuncture 6 acupoints, respectivement, et ont résumé que SI pourrait être en partie responsable de l'effet d'acupuncture. La même situation s'est produite avec le cervelet. La stimulation des points d'acupuncture pourrait provoquer l'effet de modulation du cervelet au-delà de l'implication classique du cervelet dans la coordination motrice.

La stimulation de LR3 a activé sélectivement le gyrus occipital moyen (BA19), considéré comme un cortex visuel. L'étude de Siedentopf et al. ont trouvé que l'électroacupuncture au niveau des points d'acupuncture liés aux yeux dans le cortex visuel activé par le pied. Outre le gyrus occipital moyen (BA19), la stimulation de LR3 a également activé le gyrus frontal médial (BA10), le lobe pariétal supérieur (BA7), le thalamus et le système limbique. Ces zones étaient impliquées dans la modulation viscérale. Il convient de noter que LR3 était également très efficace pour la douleur viscérale et la paralysie corporelle. Les résultats ont confirmé l’opinion selon laquelle les effets thérapeutiques de l’acupuncture peuvent agir sur la voie du système nerveux central.

L'acupuncture à ST44 activait spécifiquement le gyrus frontal supérieur, le gyrus frontal inférieur et la zone somatosensorielle secondaire (SII). Les zones frontales sont connues pour être liées à la douleur, en particulier pour l'abirritation de la douleur viscérale. L'activation du cortex SII serait liée à l'aspect discriminatoire sensoriel du traitement de la douleur. Ces zones ont été rapportées dans des études antérieures sur le traitement de la douleur par acupuncture. Dans la pratique clinique, il est souvent utilisé pour soigner les maux de dents, les maux de gorge, les maux d'estomac, l'enflure et la douleur du dos du pied. Cette découverte impliquait que l'acupuncture à ST44 pouvait moduler les activités des zones frontales et du cortex SII pour inhiber la douleur.

Par rapport au paradigme de l'expérience précédente, notre étude a choisi deux points d'acupuncture adjacents et leur non-point voisin pour explorer la spécificité du point d'acupuncture. Comme nous avons adopté deux points d'acupuncture adjacents, le même non-point pourrait être disponible. Les zones spécifiques activées de deux points d'acupuncture ont été acquises en opposant les vrais points d'acupuncture au même non-point. Par conséquent, l'effet de la stimulation neuronale pourrait être complètement éliminé de la stimulation par l'acupuncture. Nos résultats pourraient être plus crédibles que les études précédentes.

5. Conclusions


Dans cette étude, les résultats ont démontré que l'acupuncture au niveau des points d'acupuncture adjacents pouvait provoquer différents modes d'activation de l'IRMf dans le cerveau humain. Il est raisonnable de suggérer que l'acupuncture à différents points d'acupuncture peut moduler des zones cérébrales spécifiques. Nos résultats fournissent des preuves supplémentaires en neuro-imagerie de l'existence d'une spécificité de point d'acupuncture. Il est utile d'interpréter le mécanisme sous-jacent de l'acupuncture.


Cette étude a été financée par la Fondation nationale des sciences naturelles de Chine (Subvention n ° 91232713) et le Programme national de recherche fondamentale de la Chine (Programme 973) (Subvention n ° 2013CB835100).




Liens :

https://www.hindawi.com/journals/ecam/2013/932581/#B1

Référence :

Chenglin, Liu, Wang Xiaohu, Xu Hua, Liu Fang, Dang Ruishan, Zhang Dongming, Zhang Xinyi, Xie Honglan, and Xiao Tiqiao. « X-ray phase-contrast CT imaging of the acupoints based on synchrotron radiation. » Journal of Electron Spectroscopy and Related Phenomena (2013).

Liu Chenglin, Wang Xiaohua, Xu Hua; Physics Department of Yancheng Teachers’ College, Yancheng, China.

Liu Fang, Dang Ruishan; Anatomy Department of Second Military Medical University, Shanghai, China.

Zhang Dongming, Zhang Xinyi; Synchrotron Radiation Research Center of Fudan University, Shanghai, China.

Xie Honglan, Xiao Tiqiao; Shanghai Synchrotron Radiation Facility of Shanghai Institute of Applied Physics, Shanghai, China.

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